Explication de 2 rêves

Bonjour

Il paraît que nous rêvons tous et je trouve captivant de trouver quelquefois une explication. Mais mon prolème, c'est que j'y arrive pas alors pourrait-on pour moi ?

Muriel, si tu refises, tu ne seras franchement pas sympa car c'est tout de suite à toi que je pensais pour ma question.
Alors je me raconte, ou plutôt je raconte mon rêve:

- je me trouvais dans ma chambre où je me fais piquer par une guêpe à la main. Avant de mettre une pommade, je montre ma main aux autres en disant ' regardez, ça fait une grosse cloque '.

Ce rêve m'inquiète à cause de la piqûre. Franchement, merci si tu peux Muriel. Mais est-ce un rêve spécial d'après vous ?


Le 2e

Escalier: en effet, je vois souvent un escalier / ?

toutefois quelques compléments via MP seulement.

La "guêpe" est donc l'image dominante, la plaque tournante du rêve, et à mon sens, elle est significative du détail, autrement dit : ma cloque.
Mais en argot, à quoi cela te fait-il penser, Hirondelle ?

Dans la mesure où la scène principale se déroule dans ta chambre à coucher, essaie de faire l'analogie de cette scène à une piqûre qui fait mal.
Vois le MP que je t'aurais alors laissé.


Par ailleurs, un rêve qui se passe dans un couloir ou via un escalier, autrement dit, qui offre généralement plusieurs portes ou issues (plusieurs alternatives) traduit en fait... Plusieurs choix possibles. Possiblement, certaines portes vont s'ouvrir devant toi. En fait, l'escalier t'indique la manière dont la circulation s'opère entre le conscient et l'inconscient. Autrement dit, entre le haut et le bas, alors que généralement, il tend davantage vers une évolution (si tu te vois le monter et bien sûr, une involution, quand cet escalier est descendu). Aussi, une fois descendu, on essaiera de se souvenir, autant que faire ce peu, ce qui nous attendais à la base de l'escalier, élément très parlant s'il en est.

* Toutefois, un couloir traduit un sentiment d'égarement, d'autant lorsque l'on se voit perdu dans un couloir labyrinthique sans fin. Patience !

Donc voilà, Hirondelle.

Bonne continuation