Comment faire ?

Bonsoir,

C'est en évoquant le sujet aujourd'hui, que m'est venu l'idée de vous soumettre la question.

Le bons sens voudrait qu'un souci, voire un problème se règle non pas lorsque le problème surgit, mais lorsqu'il n'est pas encore parvenu jusqu'à nous. Pour une prise de recul sur le problème, et donc traiter avec plus d'objectivité. C'est-à-dire que nous serions autrement mieux inspiré d'intervenir dans une phase de quiétude, de sérénité pour régler les problèmes de notre existence en les gérant au cas par cas. Nous savons que lorsque nous nous trouvons face un problème à résoudre, nous sommes tellement emporté par l'émotion et ses remous que parfois, nous ne parvenons pas à lâcher prise, incapables de faire preuve d'objectivité nécessaire à résoudre nos conflits intérieurs. Et parfois, notre résistance est vraiment mise à toutes contributions.

Nous avons sûrement toutes nos petites méthodes pour booster notre courage à faire le nettoyage sans y perdre trop de plumes, et mettre de l'ordre à ce qui mérite de l'être, pour y gagner en équilibre. Mais il arrive que le psychisme soit tellement sollicité, ainsi que les tensions qui ne manquent pas, que nous nous y perdons, que nous ne parvenons pas à opérer le travail de fond, alors que parallèlement, chose étonnante, nous avons à l'idée de booster nos initiatives afin d'enrayer la problématique une fois pour toutes.
Dans l'idéal, régler un souci à tête bien reposée, avec suffisamment de recul sur la situation. Généralement, ce recul fait défaut, et c'est l'Ouroboros qui s'y mord lui-même.

Quelle méthode dans l'urgence, à part l'incontournable méthode Coué ?
Et contre toute attente... quels conseils prodigueriez-vous aux plus "instinctifs" d'entre nous ?

Muriel